J'en ai vu des nanards, mais celui-là il gagne le pompon Tout est nanardisé là-dedans à commencer par les acteurs principaux, l'héroïne est aussi expressive qu'une poupée en silicone, quand au kéké qui joue le rôle du héros, c'est une catastrophe ambulante, rarement vu un type aussi mauvais. Reste le scénario, or on s'aperçoit vite qu'il est d'une indigence assez rare, en fait c'est un jeu de piste sans surprise ni tension puisqu'on sait très bien qu'à la fin Kent va retrouver Barbie. Aucune sous intrique, même pas un petit traître pour faire un peu de diversion. On ne se raccroche à rien, on a hâte que ça termine. Quelques décors peuvent faire illusion et la musique est bien mais on ne regarde pas un film pour sa musique