La Venue de l'Avenir s'avère une plaisante fresque transgénérationnelle entre la fin du XIXe jusqu'à nos jours.
Par le biiais d'un canevas scénaristique familial qui se transforme en errance intemporelle sur l'héritage du patrimoine, la transmission et la place de l'art dans nos vies (en l'occurence la photographie, la naissance du cinématographe et le début de l'impressionnisme) Cédric Klapisch de manière picturale et parfois naïve dans sa réflexion nous offre un film élégant et romanesque.
Cette recherche du temps perdu pour mieux eclairer nos lanternes modernes se décline comme le temps qui e, par petites touches poétiques et drôles et repose sur une fluidité notable dans les allers-retour temporels et un casting de népo babies somme toute assez convaincants. Divertissant et touchant.