Quand Gretel opère son coming-of-age ans un monde cruel aux airs de fables horrifique.
Gretel & Hansel faisait partie de ma petite watchlist des nouveautés made in 2020 et contrairement à The turning, il a su répondre à mes attentes. J’irai même jusqu’à dire qu’il a su m’étonner et me surprendre. Durant les quelques minutes qui composait sa bande annonce, le film nous mettait l’eau à la bouche avec des plans léchés et une photographie hors pair. Il n’en fallait pas moins pour me donner envie de découvrir le nouveau long métrage de Oz Perkins.
Si ce nom ne vous est pas familier, le réalisateur n’en est pas pour autant à son coup d’essai en termes de réalisations horrifiques. En 2015, il sortait February avec Emma Robert (Scream, AHS,…) et Kiernan Shipka (Les nouvelles aventures de Sabrina) en têtes d’affiche. Puis un an plus tard, I Am the Pretty Thing That Lives in the House un huit clos gothique produit par Netflix. Loin d'être des classiques du genre, ces deux précédents longs métrages sont tout de mêmes plaisants.
Niveau casting, le film se base essentiellement sur les personnages de Hansel (Sammy Leakey), Gretel jouée par Sophia Lillis que vous avez au moins déjà vu dans la duologie des ça ou encore dans des séries telles que Sharp objects et I’m not okay with this. Et enfin, Alice Kridge (la mère de Prairie dans The OA) qui campe de son côté le rôle de la vieille dame/sorcière.
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